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  • : PINK ELEPHANT
  • : Blog d'un militant socialiste de 34 ans, conseiller municipal à Quimper . Ses coups de coeur, ses coups de gueule etc... Sa conviction au reformisme radical, Son regard sur la politique locale et nationale
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18 mars 2007 7 18 /03 /mars /2007 14:28
1000 jeunes égarés chez Sarko!

Sarko nous parle aujourd'hui de jeunesse. Ces références sont parlantes. Les seuls jeunes qu'ils respectent sont ceux qui sont morts, ce que l'on a envoyé en pâture à la guerre, mort pour la France. Oui il faut rendre hommage à ces jeunes résistants, à ces martyres de la république mais quand on aime la jeunesse, on l'aime aussi vivante!

Ces modèles pour les jeunes, les paroles de Jean Paul II. Et encore ces amalgames, les jeunes seraient plus violents, plus extrémistes que leurs aînés. Et il voudrait nous faire croire que le choix de Sarko serait le choix de l'avenir, lui qui fustige la chance que constitue notre jeunesse.

De trop long discours ne servent à rien, sans vouloir être réducteur et caricatural, pour moi Sarkozy et la jeunesse se résume sur ces 2 photos, au moins elle montre les vrais actes du candidat sortant.





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17 mars 2007 6 17 /03 /mars /2007 22:51
  1. Le dernier Ozon

Ce soir, je suis allé voir Angel au Chapeau Rouge à Quimper.

Un film assez surprenant au vu des autres oeuvres de François Ozon. Rien à voir avec SITCOM, Swimming Pool, le temps qui reste ou 8 femmes... Quoique, les prises de vue sont toujours aussi soignées, la lumière, les couleurs, les paysages toujours aussi merveilleuses et les acteurs(rices) sublimé(e)s.

En véritable amateur des films et courts métrage d'Ozon, je sors de ce film assez décontenancé. C'est la première fois que je me demande si j'ai simplement aimé ou beaucoup aimé ce long métrage.

En fait je pense au fond que ce film m'a touché, a réveillé en moi ces questions troublantes sur les faces plus ou moins cachées de nos identités qui heurte notre morale, sur ces "soi-disant" mauvais penchant de notre personnalité.

Angel nous décrit une femme pas si égocentrique que cela ne parait aux premiers abords mais plutôt en rupture avec la réalité du monde. Elle refuse de voir ou de vivre dans le monde réel, de faire face aux dures réalités de la vie et se réfugie dans un monde à l'eau de rose qu'elle imagine, qu'elle décrit dans ces romans et qu'elle tente de réaliser avec les armes de la fortune et de la célébrité.

Angel
est à mon avis la peinture d'une partie de plus en plus importante de nos sociétés occidentales: individualiste, rêvant de gloire et de fortune, pensant ne pouvoir exister que par l'éclat, refusant la progression par étape, voulant tout tout de suite...

Quand on voit l'engouement pour les casting de la nouvelle star, des télé réalités... on voit des milliers d'Angel contemporaines qui espèrent trouver le bonheur, régler tous les problèmes par leur "starisation" et non forcément par la réalisation d'une passion. La fuite pour seul moyen d'échapper à ce monde en mouvement, sans repère et dont on ne voit pas où il va.

A force de sanctifier, sublimer, fantasmer ces rêves, des hommes ou des femmes, on finit par tomber sans pouvoir se relever

En fait, plus je tente de décrire mon ressentit, plus je pense que ce film est en fait salvateur.

Vivre la réalité, vivre les petits bonheurs quotidiens, agir pour changer cette société, s'engager dans la vie réel, rêver sans vivre dans ses rêves...voilà le chemin du bonheur.


Synopsis : Angleterre, 1905 : Angel Deverell, jeune écrivain prodige, connaît une ascension fulgurante et réalise ainsi le rêve de toute jeune fille : succès, gloire et amour.
Mais n'est-ce pas trop pour une seule femme?


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15 mars 2007 4 15 /03 /mars /2007 23:48
Ségolène Royal engagée dans la lutte contre le SIDA


Ségolène Royal a rencontré des associations de lutte contre le SIDA dont AIDES ce mercredi 14 mars.
Je vous joins le compte rendu de cette réunion fourni par l'association AIDES:


"Rencontre avec Ségolène Royal

En présence des principales associations de lutte contre le sida, AIDES a rencontré Ségolène Royal mercredi 14 mars en fin d’après midi, à son QG de campagne.

Après avoir été reçu par de nombreux candidat(e)s à l’élection présidentielle, le Président de AIDES, Christian Saout, a rencontré la candidate du Parti socialiste avec une délégation d’associations de lutte contre le sida. Entourée des principaux référents santé du PS (dont Jean Marie Le Guen et Pascal Terrasse) et de membres de son équipe présidentielle (dont Jack Lang), Ségolène Royal a écouté durant une heure les revendications portées par les associations. Compte tenu des contraintes de temps, AIDES a choisi d’insister sur deux sujets parmi nos multiples revendications : la question des prisons et de l’accès à la prévention pour les détenus, ainsi que la contribution de la France au financement de la lutte contre le sida dans le monde.

Si la candidate avait anticipé la question sur les conditions déplorables d’incarcération en France en exprimant sa volonté de rendre plus accessible le préservatif en prison, elle n’a pas abordé spontanément la question pourtant cruciale de la mise à disposition de seringues propres. A la demande du président de AIDES d’acter la nécessité absolue et urgente de distribuer des seringues propres en prison, la candidate, soutenue par son équipe, a répondu favorablement à cette proposition en insistant sur son souhait d’être particulièrement active pour lutter contre les conditions déplorables de détention sévissant en France. Nous ne pouvons que nous féliciter de cet accord et nous saurons rappeler cet engagement à la candidate si elle était élue.

A propos des questions internationales, Ségolène Royal a indiqué vouloir augmenter très fortement le montant de l’aide au développement pour atteindre les 0,7% du PIB sur laquelle la France s’est engagée. Elle a par ailleurs annoncé qu’elle entendait doubler la part de cette aide publique au développement consacrée à la santé.

Interpellée par Act Up sur l’allocation adulte handicapée, elle a affirmé vouloir augmenter son montant jusqu’à hauteur du salaire minimum, et a accepté la nécessité d’en faciliter l’accès pour les personnes atteintes d’une pathologie lourde évolutive comme le VIH/sida.

Enfin, la candidate du PS a entendu nos arguments concernant une réelle égalité des chances face à la prise en charge de la maladie. Elle a ainsi adhéré à l’idée de remplacer l’aide médicale de l’Etat par la couverture maladie universelle pour toute personne précarisée résidant en France, y compris aux étrangers en situation irrégulière.

Juste avant de clore la rencontre, Ségolène Royal a été interpellée pour qu’elle intègre concrètement dans ses futures interventions les thématiques relatives à la santé, à la place des malades dans la société, et plus précisément aux enjeux de la lutte contre le sida. Elle a alors proposé de diffuser des messages de sensibilisation lors de ses futurs meetings. Jean Marie Le Guen a suggéré de diffuser des spots de AIDES. La proposition a bien été entendue et AIDES communiquera au plus vite ces outils de sensibilisation à l’équipe de Ségolène Royal. La proposition tient également pour l’ensemble des autres candidat(e)s désireux d’ancrer les questions VIH/sida dans le débat présidentiel !

Rendez-vous est désormais pris pour le 2 avril à Lyon, où Ségolène Royal consacrera sa journée aux questions relatives à la Santé. Act Up et AIDES entendent profiter de ce rendez-vous pour poursuivre les échanges avec la candidate et faire valoir leurs propositions.
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14 mars 2007 3 14 /03 /mars /2007 22:27

Mobilisation contre  le SIDA


Il y a tant à dire sur la lutte contre le SIDA, sur le manque de moyen, sur l'inégalité entre les peuples face à cette pandémie, sur les promesses non tenues, sur l'information qui passe de moins en moins chez les jeunes et moins jeunes, sur ces personnes qui meurent dans l'indifférence ou pire dans l'exclusion...

 

En même temps la recherche avance, des bénévoles font un travail spectaculaire, des progrès très significatifs améliorent chaque jour la vie des séropositifs et la survie des sidéens.

 

Alors un seul mot d'ordre, restons mobilisé!


Faites un don en ligne: cliquez ici


Les 23, 24 et 25 mars prochains, Sidaction organise comme tous les ans trois journées de collecte, de sensibilisation et de mobilisation contre le sida dans toute la France et sur les médias. Le thème que nous avons retenu cette année est celui de la solidarité.  

Un numéro spécial, le 110 (appel gratuit), réceptionne les appels du 5 mars au 19 avril.Sur le terrain, plus de 110 animations destinées à collecter des fonds et à informer le public sur les risques du sida seront organisées partout en France.

L'ensemble des fonds (hors frais de gestion) collectés permettra à l'association Sidaction de développer des programmes de lutte contre le sida, 50 % des fonds étant consacrés à la recherche et 50 % à l'aide aux malades et la prévention.

 

Ci dessous le clip officiel et un spot qui est diffusé en ce moment sur les chaines et que je trouve très bon


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13 mars 2007 2 13 /03 /mars /2007 22:51
Une réunion du pacte présidentiel à Ergué Armel


J'ai assisté lundi soir à une réunion à la mairie annexe d' Ergué Armel (Quimper) animé par Jean Jacques Urvoas, premier secrétaire fédéral du parti socialiste et candidat à la législative sur la première circonscription du Finistère.

Une présentation claire et très bien menée qui a montré la cohérence du pacte présidentiel et la clarté du message. A contrario des analyses assommantes des sondages ou des petites phrases qui font les choux gras de la presse, le propos tenu s'est efforcé de parler du fond, des véritables interrogations et attentes des français, des réponses concrètes de Ségolène Royal.

Plusieurs des 100 propositions du pacte présidentiel y ont été explicitées et commentées par la cinquantaine de participants.

Je vous propose un extrait de la réunion: c'est le propos introductif de Jean Jacques Urvoas avant l'exposé des 7 piliers du pacte présidentiel. Il y démontre la clarté du message de ce pacte et le coté novateur, moderne de la campagne menée par Ségolène Royal.

Veuillez excusez la qualité de la vidéo ...

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13 mars 2007 2 13 /03 /mars /2007 00:59
Soutien d'artistes et scientifiques

Je sais, mes posts sont en ce moment moins réguliers que d'habitudes. Je vais tenter d'y remédier les prochains jours. En attendant je vous joins tel quel un petit aperçu de la rencontre des 1000 à Jappy ce soir.

Je vous ferai un compte rendu très bientôt de la réunion du pacte présidentiel animé par Jean Jacques Urvoas à laquelle j'ai assisté ce soir à Ergué Armel (Quimper). Une réunion riche et de qualité.

"La rencontre des mille qui se tenait lundi soir au gymnase Japy réunissait entre autres des personnalités culturelles et scientifiques. Parmi eux, Gérard Miller, Edwy Plenel, Marriane James, Pierre Bergé, Rachida Khalil, Benjamin Stora, Charles Berling et Jeanne Moreau livrent leurs impressions sur la campagne de Ségolène Royal."


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9 mars 2007 5 09 /03 /mars /2007 19:37
Réponse de DSK à Bayrou dans un entretien au monde

L
orsque François Bayrou a fait de vous un premier ministre potentiel de sa majorité, vous avez laissé dire… Pourquoi ?

Cette question ne se posera pas. Je suis un homme de gauche et l'union nationale, telle que la propose François Bayrou, ferait avant tout l'affaire des extrêmes. La France a besoin d'une majorité de gauche. Pour autant, je trouve que l'on est à la fois trop indulgent par rapport au flou du projet de François Bayrou et parfois trop excessif par rapport à sa démarche.
C'est certes un homme de droite, mais il a donné des signes de rupture par rapport à Jacques Chirac et Nicolas Sarkozy. Est-ce que ces signes de rupture en font une solution pour la France ? Je ne le crois pas : en mettant sur le même plan le PS et l'UMP, il est injuste sur le passé et inopérant pour l'avenir. Est-ce que cela en fait le meilleur candidat pour battre Nicolas Sarkozy ? Je ne le crois pas davantage. Il ne peut ni ne veut rassembler l'ensemble de la gauche, or c'est nécessaire pour battre Nicolas Sarkozy.

Ségolène Royal, parce qu'elle n'est pas centriste mais occupe une position centrale, est la mieux placée pour rassembler. François Bayrou devra finir par se déterminer. S'il va jusqu'au bout de sa logique – et je l'y encourage ! –, il se prononcera contre l'alliance avec Nicolas Sarkozy au second tour. Cela fera une belle majorité pour battre Sarkozy et pour changer la France.


Vous suggérez au candidat centriste de rallier Mme Royal ?


Ségolène Royal l'a dit : tous ceux qui rejoindront le "pacte présidentiel" auront vocation à rejoindre le gouvernement et la majorité présidentielle.

Le candidat centriste est donc compatible avec la gauche ?


La ligne de François Bayrou n'est pas une solution, c'est une illusion. Sa progression dans les sondages est la manifestation la plus repérable de l'exaspération des Français devant l'absence de vrais débats sur leurs vrais problèmes. Je les comprends. Remettons les solutions – notamment économiques et sociales – au cœur de la campagne présidentielle : nous verrons si François Bayrou partage les nôtres et, j'en suis sûr, nous l'emporterons.


Vous faites une ouverture à l'électorat centriste ?


Il n'y a pas d'ouverture à faire. Il y a à montrer que la gauche que Ségolène Royal veut incarner, et moi aussi, offre un nouveau visage. J'ai plaidé pour une gauche social-démocrate. Je pense toujours que la solution est là.


La progression de M. Bayrou dans les sondages signifie-t-elle que le clivage droite-gauche a du mal à s'installer ?


La succession des alternances et les difficultés de la société française ont érodé les différences manichéennes qui existaient jusqu'en 1981. C'est plutôt une bonne chose. Pour autant, je continue de penser que les différences entre la droite et la gauche structurent notre pays. Qui ne voit aujourd'hui qu'il y a deux manières de faire évoluer la société française dans la mondialisation. La gauche moderne que représente Ségolène Royal, et que je défends, vise à concilier une nouvelle vision de la création de richesse et de la réduction des inégalités.

Cette campagne est beaucoup trop remplie d'anecdotes. Les Français sont dessaisis des débats. Nicolas Sarkozy organise le brouillage, en citant Jaurès et Blum, et se fait le champion du travail, "travailler plus pour gagner plus". Or, il a été rappelé mille fois que ce ne sont pas les salariés qui décident des heures supplémentaires, et que ça n'apporte aucune solution aux salariés en temps partiel subi. C'est une approche très différente, sur le pouvoir d'achat, de celle que propose la gauche avec l'ouverture d'une grande négociation avec les partenaires sociaux qui traite de la hausse du smic et de la revalorisation des petites retraites mais aussi de toute la revalorisation des carrières professionnelles…

Sur la question fiscale, Nicolas Sarkozy dit qu'il faut baisser de 4 % les prélèvements obligatoires alors que chacun sait très bien que le problème central du pays, c'est celui de la dette, sur laquelle Ségolène Royal a mis l'accent, et que cela impose de stabiliser les prélèvements obligatoires. Dire, comme le fait Nicolas Sarkozy, qu'on veut faire passer le bouclier fiscal à 50 % revient en fait à supprimer l'ISF. Dans ces conditions, qu'il le dise clairement ! Que le débat commence enfin sur les objectifs, les priorités, les solutions, les modalités… sous le regard des Français.


Quelle relance faut-il pour l'Europe ?


Il faut absolument que l'ensemble de la mécanique reparte. Le cadre principal doit être celui de l'entente étroite entre Français et Allemands. Il faut reprendre l'inspiration du traité de l'Elysée de 1963 et, avec un nouveau pacte, aller loin dans l'intégration franco-allemande, en dégageant une vision commune sur les frontières, l'économie et le social, le militaire et le diplomatique et l'environnement et l'énergie.

Avec la présidence allemande en 2007, la présidence française en 2008 et les élections européennes en 2009, la fenêtre est étroite, mais elle existe. Pour le reste, il faut écarter le "mini-traité" version Sarkozy parce qu'il manque d'ambition et heurte les dix-huit pays qui ont dit oui à la Constitution européenne. Nous n'avons pas besoin d'un traité "moins". Nous avons besoin d'un traité "plus", qui réponde aux attentes sur le social, l'environnement, la gouvernance économique, de ceux qui sont inquiets d'une Europe trop libérale.


Ce nouveau traité doit-il être soumis à un référendum ?


S'il n'est qu'un règlement intérieur de fonctionnement de l'Union, sous la pression des eurosceptiques, des Britanniques, des Polonais, des Tchèques auxquels Nicolas Sarkozy prête la main avec son mini-traité, il peut passer par la voie parlementaire. Si c'est le traité "plus", le parallélisme des formes impose un référendum mais, dans ce cas, il sera, j'en suis sûr, adopté.


La présence de l'Etat dans le capital d'EADS est-elle nécessaire ?


Oui. La spécificité d'EADS, c'est qu'il s'agit de la première entreprise créée de façon binationale – avec des actifs français et allemands – et avec une organisation bicéphale. La participation de l'Etat français a été un élément de discussion au départ, mais ce n'est plus une difficulté aujourd'hui. En revanche, l'organisation bicéphale, qui était indispensable pour créer EADS, n'était pas destinée à durer : il aurait fallu la faire évoluer. Je me souviens que dès 2002, j'avais rencontré le président de Daimler pour voir avec lui les modalités possibles d'évolution. Le décès de Jean-Luc Lagardère – qui appuyait cette démarche – a interrompu le processus. Il aurait fallu depuis bouger sur cette question. En cinq ans, le gouvernement n'a rien fait.


Cette gouvernance bicéphale, il faut y mettre fin ?


Oui. Bien des solutions peuvent être imaginées, comme une présidence à tour de rôle. Mais, pour pouvoir être adoptées, il faut recréer de la confiance.


Mais vous êtes d'accord avec la demande de Ségolène Royal d'une recapitalisation par les Etats et d'une participation des régions ?


Pourquoi pas ! Même si nous ne sommes pas dans le cas d'Alstom, et si la recapitalisation n'est pas le problème principal d'Airbus, elle peut être utile. Airbus connaît d'abord des difficultés d'organisation. Il y aurait beaucoup à gagner à discuter avec les organisations syndicales, sans oublier les sous-traitants, pour remettre à plat le plan Power 8. C'est un grand gâchis d'avoir construit ce plan sans les avoir suffisamment consultées.


Propos recueillis par Arnaud Leparmentier et Isabelle Mandraud
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8 mars 2007 4 08 /03 /mars /2007 23:39
Heureusement que le ridicule ne tue pas !

Si vous êtes fan des séquences des pires chanteurs de la nouvelle star, ou des crécelles de la star académie, on a encore trouvé mieux: la foultitude des chansons de soutien aux candidats présidentiels.

Allez voici un florilège sans aucun parti pris pour une fois.



Sarko Oh Oh !
envoyé par thibjl




Par contre si vous aimez les chansons à textes réussies, voici de réels coup de coeur pour vous soulager les oreilles après ces petits morceaux d'horreur, ce n'est pas des découvertes mais bon quand c'est bon ...

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8 mars 2007 4 08 /03 /mars /2007 22:48
La boite à image du Grand Journal : Spécial Ségolène Royal

Je sais ça ne fait pas avancer le smilblick, mais j'aime bien cette séquence du grand journal...





Boite a questions Segolene Royal
envoyé par lecuix


Et pour un peu d'équité, voila celle du candidat sortant



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6 mars 2007 2 06 /03 /mars /2007 23:08
Rencontre avec Vincent Picheral

Hier soir dans le cadre de notre commission "Enjeux culturels et éducatifs" en vue de la préparation des municipales 2008 à Quimper, nous avons accueilli Vincent Picheral, ancien adjoint à la culture de Quimper durant le premier mandat de Bernard Poignant.

C'était une réunion d'une grande richesse et avec une énergie assez impressionnante. La passion de Vincent Picheral pour les défis culturels de Quimper a été contagieuse et son analyse très enrichissante.

La politique culturelle d'une ville n'est pas un simple apparat, un atout, une manière de briller mais c'est un fabuleux outils de l'émancipation, de la cohésion sociale, du développement économique et humain d'une ville.

La culture, c'est penser sa vie et la transformer.

Durant cette réunion, un diagnostic assez complet a été dressé avec les atouts et les manques de Quimper au point de vue des équipements et du fonctionnement, un bilan des réalisations des différentes municipalités depuis 3 mandatures (le bilan de la dernière équipe municipale a été assez rapide au vu des réalisations) et enfin des perspectives d'avenir, des axes prioritaires, des combats à mener.

En bref, une réunion constructive d'où l'on sort motivé, plein d'espoir et avec une volonté de travail importante.


 
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