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2 mai 2007
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23:03
Dimanche 2 choix: le choix du la résignation ou celui de la volonté de changement.
Pouvoir encore être révolté, avoir de la colère contre les injustices, c'est le signe que l'on n'ai pas encore résigné, que l'on n'a pas encore cédé au fatalisme (ni au déterminisme génétique ou social soit dit en passant).
Sur ce point je rejoins totalement l'avis de manue, être de gauche, c'est avoir la capacité de se révolter.
La volonté de changement, c'est aussi accepter que le monde peut évoluer et de ne pas fermer ses portes à l'avenir au seul motif que les repères que l'on a sont figés à une date. Présider, c'est avoir la capacité de se projeter dans plusieurs scénarii du futur. Sur le sujet de la Turquie, Nicolas Sarkozy réagit en réactionnaire, en homme du passé, résigné sur la situation actuelle. Le fatalisme de cet homme me fait presque plus peur que son instabilité nerveuse ou que sa facilité d'absorption des théses frontistes.
Mr Sarkozy, quand on cite Rocard, on n'oublie pas le meilleur, "La France ne peut pas accueillir toute la misère du monde mais elle doit savoir en prendre fidèlement sa part ! "
Sur la régularisation des sans papiers, si je comprends bien, pour être régularisé, il faut connaître une amie de Mr Sarkozy, quel bel exemple d'une politique clientéliste. C'est effarant l'impudeur du candidat UMP, belle et bien dans la tradition chiraquienne mais en plus totalement assumée. L'indécence au sommet de sa gloire!
Pouvoir encore être révolté, avoir de la colère contre les injustices, c'est le signe que l'on n'ai pas encore résigné, que l'on n'a pas encore cédé au fatalisme (ni au déterminisme génétique ou social soit dit en passant).Sur ce point je rejoins totalement l'avis de manue, être de gauche, c'est avoir la capacité de se révolter.
La volonté de changement, c'est aussi accepter que le monde peut évoluer et de ne pas fermer ses portes à l'avenir au seul motif que les repères que l'on a sont figés à une date. Présider, c'est avoir la capacité de se projeter dans plusieurs scénarii du futur. Sur le sujet de la Turquie, Nicolas Sarkozy réagit en réactionnaire, en homme du passé, résigné sur la situation actuelle. Le fatalisme de cet homme me fait presque plus peur que son instabilité nerveuse ou que sa facilité d'absorption des théses frontistes.
Mr Sarkozy, quand on cite Rocard, on n'oublie pas le meilleur, "La France ne peut pas accueillir toute la misère du monde mais elle doit savoir en prendre fidèlement sa part ! "
Sur la régularisation des sans papiers, si je comprends bien, pour être régularisé, il faut connaître une amie de Mr Sarkozy, quel bel exemple d'une politique clientéliste. C'est effarant l'impudeur du candidat UMP, belle et bien dans la tradition chiraquienne mais en plus totalement assumée. L'indécence au sommet de sa gloire!
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